A l'occasion de la visite de la ministre Retailleau à Montpellier, des précaires ont pu l'interpeller, obtenant un entretien de 10 minutes. Un vrai dialogue de sourds. L'ouverture de nouveaux postes permanents n'est pas prévue au programme.
« Précaires et syndicats : lutter ensemble ? » Analyse
En amont des Assises de la Précarité dans l'ESR du 30 mars 2022, la page Facebook “Précarités de l’ESR mobilisées” a diffusé un questionnaire sur les relations entre personnels précaires (organisé·es en collectifs ou non) et les syndicats de travailleur·ses de l'ESR. Voici les résultats de ce questionnaire et une analyse, produite en collaboration avec des titulaires et non-titulaires de l'ESR, syndiqué·es à Sud Éducation et au SNESUP.
Macron : on fait le bilan
Université Ouverte publie le chapitre dédié à l'enseignement supérieur et la recherche, issu du bilan d'Attac sur le quinquennat Macron.
Surveiller et détruire : la politique universitaire d’Emmanuel Macron
La politique universitaire de Macron réduit les financements de l’ESR, ferme ses portes à de nombreux·ses étudiant·es, précarise ses travailleur·ses et fragilise les libertés académiques. Nous sommes aujourd’hui devant un choix de société : il s’agit pour nous de défendre une conception de l’enseignement supérieur et de la recherche, qui doit être un espace ouvert à tou·tes.
Situation de notre université : notre souffrance est politique.
Lettre ouverte des enseignants chercheurs titulaires au président de l’université Sorbonne Nouvelle. "Dans ces conditions, nous ne pouvons plus faire face. Nous sommes épuisé·es et indigné·es. Ces conditions de travail ont un impact sur notre santé, notre vie personnelle et le sens que nous donnons à notre métier. Nous ne sommes plus en mesure d’accompagner correctement nos étudiant·es et nos doctorant·es ainsi que nos collègues les plus précaires."
Ce printemps, rallumons nos luttes !
Ne laissons pas le gouvernement nous forcer à regarder le doigt plutôt que la lune : le sacrifice de la jeunesse, la précarité étudiante, la précarisation et la destruction toujours plus dramatique du service public de l'ESR. Ce printemps, réactivons nos luttes !
Lettre d’une fourmi à une ministre
"J'ai été sollicitée pour vous rencontrer et échanger avec vous sur les prolongations de contrats doctoraux, et plus généralement, sur les effets de la crise sanitaire sur la recherche. Après avoir mûri ma réflexion, j'ai finalement décidé de ne pas venir vous rencontrer. [...] Une pétition circule pour demander votre démission. À ce jour, 21567 personnes l'ont signée. J'en fais partie."
Démission de Frédérique Vidal : la pression monte !
Les appels à la démission de la ministre de l'ESR, Frédérique Vidal, se multiplient depuis qu'elle a annoncé vouloir commander une enquête sur les ravages de "l'islamo-gauchisme" à l'Université.
En défense de la collégialité universitaire
Dans une série de vidéos, des universitaires défendent le rôle d'un contre-pouvoir, national et collégial, face aux chefs d'établissement, le Conseil National des Universités.
Noël 2020, la LPR sous le sapin – La veille trimestrielle d’UO
Tous les trois ou quatre mois, nous publions un récapitulatif des ressources issues de nos articles et de notre veille sur les réseaux. Voici le numéro qui lance l'année !
Le 10 décembre, on est là !
Liste des rendez-vous de ce jeudi 10 décembre, journée de mobilisation des facs et des labos, partout en France.
Le volet OGM de la LPR : cheval de Troie de l’agrochimie
Le gouvernement s’autorise à simplifier les procédures pour les usages confinés d’OGM, à redéfinir les missions d’évaluation des OGM et à les réorienter vers l’Anses, ainsi qu’à faciliter la commercialisation et l’usage de semences génétiquement modifiées.
« Le 10 décembre, manifestons ! »
Les organisations signataires appellent toutes et tous les étudiant·es et collègues à se réunir massivement en assemblées générales, à se mettre en grève le jeudi 10 décembre et à rejoindre les manifestations et rassemblements partout sur le territoire pour que la « loi de programmation de la recherche » ne soit pas promulguée et pour le retrait de la « loi de sécurité globale », pour la défense de nos droits et des libertés universitaires, pour la réouverture des universités aux étudiant·es avec les moyens humains et matériels nécessaires.
« Nous sommes en grève »
Nous, docteur·es et doctorant·es, vacataires et contractuel·les au département de sociologie de Dijon, prenons aujourd’hui la parole pour dire notre colère face aux dysfonctionnements structurels au sein de l'Université de Bourgogne, qui nous mettent, nous et nos collègues titulaires, dans des situations ubuesques. Nous tirons la sonnette d’alarme ! Pour celles et ceux qui se sentiraient désireux·ses de nous soutenir, et qui le peuvent, nous avons mis en place une caisse de grève afin d'éponger en partie la perte financière que recouvre notre engagement pour la fin d'année 2020.
Facs et labos en danger : amplifions la lutte !
On est là, on ne lâche rien ! Dans les prochaines semaines, nous devrons nous réunir encore, à tous les niveaux, pour coordonner nos actions et structurer la suite de la mobilisation. D'ores et déjà, des rendez-vous sont fixés.