Ce formulaire a été créé par Université Ouverte et le Resome pour recenser les mesures mises en place par les universités pour l'année scolaire 2021-2022 : appliqueront-elles ou non le plan Bienvenue en France ? Le formulaire est accessible dans l'article. Merci de le faire circuler au maximum !
Ce printemps, rallumons nos luttes !
Ne laissons pas le gouvernement nous forcer à regarder le doigt plutôt que la lune : le sacrifice de la jeunesse, la précarité étudiante, la précarisation et la destruction toujours plus dramatique du service public de l'ESR. Ce printemps, réactivons nos luttes !
Lettre d’une fourmi à une ministre
"J'ai été sollicitée pour vous rencontrer et échanger avec vous sur les prolongations de contrats doctoraux, et plus généralement, sur les effets de la crise sanitaire sur la recherche. Après avoir mûri ma réflexion, j'ai finalement décidé de ne pas venir vous rencontrer. [...] Une pétition circule pour demander votre démission. À ce jour, 21567 personnes l'ont signée. J'en fais partie."
Face à notre détresse, rassemblons-nous ! Jeudi 14 janvier 2021 place de la Sorbonne
Nous nous rassemblons ce jeudi 14 janvier 2021 à 14h, place de la Sorbonne, pour protester contre les partiels en présentiel à Sorbonne Université, contre le déni de nos responsables face à notre détresse, et contre leur politique de l’autruche qu’iels maintiennent depuis le début du semestre malgré les dysfonctionnements qu’on leur rapporte.
(Pas) bienvenu en France : soutien économique et politique à notre collègue menacé d’expulsion !
Un jeune docteur sénégalais, après dix ans d'étude et de travail en France, vient de recevoir une obligation de quitter le territoire français (OQTF), alors même qu'il a un emploi et participe à deux projets de recherche. L'Etat français expulserait-il ses propres travailleurs ? La solidarité s'organise, localement et nationalement !
Noël 2020, la LPR sous le sapin – La veille trimestrielle d’UO
Tous les trois ou quatre mois, nous publions un récapitulatif des ressources issues de nos articles et de notre veille sur les réseaux. Voici le numéro qui lance l'année !
« Nous sommes en grève »
Nous, docteur·es et doctorant·es, vacataires et contractuel·les au département de sociologie de Dijon, prenons aujourd’hui la parole pour dire notre colère face aux dysfonctionnements structurels au sein de l'Université de Bourgogne, qui nous mettent, nous et nos collègues titulaires, dans des situations ubuesques. Nous tirons la sonnette d’alarme ! Pour celles et ceux qui se sentiraient désireux·ses de nous soutenir, et qui le peuvent, nous avons mis en place une caisse de grève afin d'éponger en partie la perte financière que recouvre notre engagement pour la fin d'année 2020.
Opération « Écrans Noirs »
Comment continuer la lutte ? Les pistes sont nombreuses ! Nous en présentons quelques-unes ici.
L’université en taule
Cette prétendue "loi recherche" est donc une loi de précarisation, de privatisation et de criminalisation, qui entend nous faire passer de l'université au pénitencier.
Bientôt, nous déconfinerons notre colère.
Bientôt, nous déconfinerons notre colère. C'est donc comme si la LPPR LPR était adoptée. Et quelle loi ! Aujourd'hui, nous sommes confiné·es. Nous pouvons écrire, signer, faire connaître les raisons de notre colère, dans le monde de l'université et de la recherche et au-delà. Demain, il nous faudra reprendre la lutte, avec une rage et une puissance renouvelées. Notre colère explosera.
Enseignement supérieur et recherche : Appel solennel pour la protection des libertés académiques et du droit d’étudier
En dépit de la fatigue des collègues mobilisé·es depuis des mois pour la défense du service public de la recherche et de l’enseignement supérieur ; en dépit d’un semestre universitaire qu’il nous faut gérer dans des conditions dantesques ; en dépit des autres initiatives en cours, que nous appelons à rejoindre1, nous sonnons l’alerte générale sur l’état des libertés académiques et du droit d’étudier en France. Nous avons encore espoir que cette alerte sera entendue.
Loi de programmation de la recherche : nuit noire sur le Sénat
Les rapports préparatoires à la LPR, tout comme le projet de loi, étaient terriblement menaçant pour l'Université et la recherche. Le texte de loi s'avère pire.
Réveillons nos sénateur·trices !
Le 13 octobre, on va en manif et on contacte ses sénateur·trices !
ATEn, quésaco ? Un nouveau type de contrat précaire à l’université
Un poste d’ATEn est un poste consistant en un temps plein de 384 heures - le double d’un service de MCF ou de PR. Pour cette énorme charge d’enseignement, les titulaires d’un doctorat seront payé·es 1900 euros net par mois, les (doctorant·es) titulaires d’un master, 1600 euros !
« Bienvenue en France », LPPR, précarité… même rentrée, mêmes combats !
La rentrée 2020 s'annonce mouvementée : à la Covid-19 s'ajoute l'arrivée au pas de charge de la LPPR. Voici quelques ressources pour nous y retrouver et reprendre la lutte. Il y a urgence !