Comment réduire les risques de transmission du COVID-19 dans nos universités et nos laboratoires

"Nous, CASPER (Collectif Auto-défense Santé Publique EsR), sommes un collectif de membres de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, basé en France. Nous faisons appel à nos laboratoires, universités, collectifs de recherche et collègues de travail, et demandons des mesures de réduction des risques simples et efficaces, face à la circulation du COVID-19 et de ses variants dans nos espaces professionnels."

Contre la casse des retraites, contre la précarité, pour le service public : président·es d’universités, franchement, que faites-vous ? 

Contre la casse des retraites, contre la précarité et l'ensemble des politiques qui détruisent notre service public, après la nouvelle journée de mobilisation appelée par l’intersyndicale interprofessionnelle nationale le mardi 28 mars, l’assemblée générale des personnels de l’ESR d’Ile-de-France appelle à nous réunir jeudi 30 mars à 12h30, devant les locaux de France Université, pour interpeller les présidences d’université et porter nos revendications. 

Surveillances et corrections gratuites : recours pour excès de pouvoir

Les collectifs de précaires de l'ESR n'ont eu de cesse de rappeler que le travail gratuit gangrénait ce milieu. Après la publication de la tribune "Le travail gratuit dans l'esr : ça suffit", des camarades réuni·es sur le Discord dédié à la coordination des précaires et de leurs collectifs ont exploré les différentes procédures jurdidictionnelles envisageables pour lutter contre les surveillances et corrections de copies imposées aux précaires et réalisées gratuitement : les recours pour excès de pouvoir. Nous reproduisons ici le mail envoyé début février 2023 pour coordonner cette étape de la lutte.

UPEC, site Pyramide : ce n’est pas seulement un bâtiment mais bien 3000 étudiant·es et 500 membres du personnel qui sont laissé·es à l’abandon !

Le bâtiment en l'état est vétuste : des relevés de température à 8 ou 9 degrés Celsius dans les salles de cours, des bureaux impraticables depuis des inondations, des plafonds effondrés, des risques électriques avec les fuites d'eau récurrentes, le matériel défectueux, l'état des sanitaires et des peintures, sans compter les coupures d’électricité et de réseau ou même d’eau potable, etc. 

Avenir de la géographie, présent des géographes

"Comment penser l’avenir de notre discipline, quand, à plus de 30 ans, nous ne sommes toujours pas en mesure de nous projeter dans le nôtre ?" C'est une des questions posées par trois "jeunes" géographes lors du discours d'ouverture, en juillet dernier, du congrès scientifique organisé à l'occasion du centenaire de l'Union géographique internationale. Le comité de pilotage du congrès les avait sollicitées, en tant que récipiendaires ou accessit du prix de thèse du Comité national français de géographie, pour une intervention sur le thème des "Pensées émergentes en Géographie", intervention qu'elles ont fait le choix d'articuler notamment autour des conditions matérielles de travail, dans un contexte de réduction des financements et de précarisation des personnels de la recherche publique.