Un jeune docteur sénégalais, après dix ans d'étude et de travail en France, vient de recevoir une obligation de quitter le territoire français (OQTF), alors même qu'il a un emploi et participe à deux projets de recherche. L'Etat français expulserait-il ses propres travailleurs ? La solidarité s'organise, localement et nationalement !
Noël 2020, la LPR sous le sapin – La veille trimestrielle d’UO
Tous les trois ou quatre mois, nous publions un récapitulatif des ressources issues de nos articles et de notre veille sur les réseaux. Voici le numéro qui lance l'année !
Modibo Massaké : « les étudiant·es extra-européen·nes sont les plus touché·es par la crise »
Modibo Massaké explique la situation des étudiant·es étranger·es non-européen·nes, aggravée par la crise de la covid19. Il nous invite à poursuivre la lutte et à organiser nos solidarités.
Le 8 juillet des Facs et Labos en Lutte !
Ce mercredi 8 juillet, les Facs et Labos en Lutte se sont rassemblés, contre la LPPR, contre "Bienvenue en France", contre toutes les attaques que subissent les services publics de l'enseignement supérieur et la recherche. Nous sommes là, nous serons toujours là, pour une recherche et une université publiques, ouvertes à tou·tes et émancipatrices ! Toutes les vidéos des interventions de ce rassemblement de lutte et de fête sont à retrouver sur cette page. Au bas de la page, nous publions quelques photos ainsi que les textes que nous ont fait parvenir des personnes qui souhaitaient être présentes mais n'ont hélas pas pu.
Le Conseil d’État permet au gouvernement de fermer l’université
La décision du Conseil d’État relative à "Bienvenue en France" est une véritable réécriture de la décision du Conseil constitutionnel du 11 octobre 2019, qui était venu consacrer l'exigence constitutionnelle de gratuité de l'accès à l'enseignement supérieur public. Analyse.
Juan Prosper nous explique le combat juridique contre « Bienvenue en France »
Juan Prosper, du SAF (syndicat des avocat·es de France) nous explique les suites de la bataille juridique contre "Bienvenue en France".
La bombe de la dette étudiante a-t-elle explosé ?
L’enseignement supérieur global est en crise. Si la pandémie a frappé une économie mondiale déjà bien mal en point, l’enseignement supérieur « payant » est particulièrement touché : les échanges internationaux d’étudiant-es – les plus profitables – sont en berne, en même temps que la fermeture des campus réduit fortement l’attractivité de diplômes hors de prix.
Des mensonges d’État – édito #2 de la Confinée Libérée
Le mensonge sur la pénurie de masques n’est ni anecdotique, ni un fait isolé. Dans les politiques de l’enseignement et la recherche, le détournement des mots est également devenu une constante, voire un outil de gestion. Ces dernières années, le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche (MESRI) a systématiquement camouflé la réalité de ses politiques par des mensonges purs et simples : annoncer plus de moyens pour la recherche, tout en coupant les financements pérennes des laboratoires ; dire lutter contre la précarité, tout en baissant le nombre de postes ouverts ; annoncer ouvrir l’université, tout en multipliant par 15 les frais d’inscriptions pour les étudiant·es étranger·es extra-communautaires, selon le plan désigné par l’antiphrase “Bienvenue en France”.
Du 16 au 22 mars : semaine de Lutte des Facs et Labos !
La deuxième coordination nationale des Facs et Labos en Lutte a décidé d'une semaine d’amplification et d'intensification de la lutte du 16 au 22 mars. Au cours de cette semaine, nous organiserons la lutte partout, avec des assemblées générales, des actions, des manifestations et un élargissement de la grève !
Pour une université ouverte, émancipatrice et internationale
Tribune collective du 6 mars 2020 sur Regards.fr Nous, étudiant·es, doctorant·es, ingénieur·es, technicien·nes, personnel·les administratif·ves, enseignant·es et chercheur·ses, étrangèr·es et français·es, combattons, avec tous les autres secteurs actuellement en lutte, la réforme des retraites et, plus généralement, la destruction des services publics et des systèmes de solidarité qui touchent les travailleuses et travailleurs du public … Lire la suite de Pour une université ouverte, émancipatrice et internationale
Collectif division internationale du travail et place des étrangers dans l’ESR en France
Ce groupe de travail a été créé lors de la coordination nationale des facs et labos en lutte les 1er et 2 février 2020. Si vous voulez participer vous pouvez vous inscrire sur la mailing list: etr_esr@framalistes.orgS'abonner ➙ https://framalistes.org/sympa/subscribe/etr_esr Sa motion Nos institutions, nos pensées, notre mobilisation même restent prisonnières d’un imaginaire national. Mais nous … Lire la suite de Collectif division internationale du travail et place des étrangers dans l’ESR en France
Étudiants Étrangers : états des lieux, états des Luttes.
Cette première rencontre est organisée dans le cadre de l'Université populaire de Paris Descartes. Elle aura lieu le jeudi 23 janvier de 18h à 20h au 45 rue des Saints-Pères. Cette rencontre vise à présenter les caractéristiques des mobilités étudiantes internationales en France et des conditions d’accueil et d’études des étudiants étrangers. Nous y discuterons … Lire la suite de Étudiants Étrangers : états des lieux, états des Luttes.
Le Conseil constitutionnel consacre le principe de gratuité de l’enseignement supérieur !
Dans sa décision de ce vendredi 11 octobre 2019, le Conseil constitutionnel confirme que la gratuité de l’enseignement supérieur est un principe constitutionnel, distinct du principe de l’égal accès, et qu’il implique que les droits d’inscription demeurent « modiques ».
Les 20 et 21 septembre, les étudiant·es aussi sont dans les rues !
L’an dernier nous avons marché chaque samedi avec les Gilets Jaunes, et nous étions présent à chaque rendez-vous de l’écologie anticapitaliste. La rentrée est là, vendredi 20 et samedi 21 nous marchons tou·tes ensemble. Ce sera le début flamboyant d'un automne de luttes.
La parole à d’anciens étudiants étrangers hors-UE
"Un premier argument que j’ai pu donner à ma famille pour avoir leur soutien était effectivement que les frais d’inscriptions annuels en France étaient bas. Sinon, mon père aurait pu beaucoup plus facilement écarter la possibilité que je parte étudier dans un pays étranger."