Comment continuer la lutte ? Les pistes sont nombreuses ! Nous en présentons quelques-unes ici.
L’université en taule
Cette prétendue "loi recherche" est donc une loi de précarisation, de privatisation et de criminalisation, qui entend nous faire passer de l'université au pénitencier.
Notre lutte contre la LPPR et son monde continue !
Communiqué des Facs et Labos en Lutte du 6 novembre 2020. Contre la LPPR, contre la précarité, pour un service public d’enseignement et de recherche, ouvert, émancipateur, antisexiste et antiraciste, la lutte continue !
Les sciences sociales contre la République ?
Le 2 octobre 2020, l'AG des revues en lutte a répondu dans Le Monde au ministre J.-M. Blanquer qui entend combattre "une partie non négligeable des sciences sociales françaises", au prétexte de la lutte anti-terroriste. Cette tribune, reproduite ci-dessous, rejoint de très nombreuses prises de position. Nous en listons quelques-unes ici.
Bientôt, nous déconfinerons notre colère.
Bientôt, nous déconfinerons notre colère. C'est donc comme si la LPPR LPR était adoptée. Et quelle loi ! Aujourd'hui, nous sommes confiné·es. Nous pouvons écrire, signer, faire connaître les raisons de notre colère, dans le monde de l'université et de la recherche et au-delà. Demain, il nous faudra reprendre la lutte, avec une rage et une puissance renouvelées. Notre colère explosera.
Enseignement supérieur et recherche : Appel solennel pour la protection des libertés académiques et du droit d’étudier
En dépit de la fatigue des collègues mobilisé·es depuis des mois pour la défense du service public de la recherche et de l’enseignement supérieur ; en dépit d’un semestre universitaire qu’il nous faut gérer dans des conditions dantesques ; en dépit des autres initiatives en cours, que nous appelons à rejoindre1, nous sonnons l’alerte générale sur l’état des libertés académiques et du droit d’étudier en France. Nous avons encore espoir que cette alerte sera entendue.
Loi de programmation de la recherche : nuit noire sur le Sénat
Les rapports préparatoires à la LPR, tout comme le projet de loi, étaient terriblement menaçant pour l'Université et la recherche. Le texte de loi s'avère pire.
Après Conflans : gare aux mots de la démocratie
L'historien Olivier Compagnon revient sur les dangereuses pratiques sémantiques de plusieurs membres du gouvernement.
Pierre Ouzoulias : la LPPR ne correspond pas à notre idéal républicain !
Pierre Ouzoulias, sénateur des Hauts-de-Seine, revient sur le processus parlementaire d'examen de la LPPR et sur la nomination de Thierry Coulhon à la tête de l'Hcéres.
L’université Potemkine
Communiqué de l'Assemblée générale des précaires de l'ESR d'Ile-de-France au sujet de la rentrée 2020/2021.
Suspendons la loi de programmation de la recherche : notre société exige beaucoup mieux !
Sans recherche, notre société n’a pas d’avenir. Non seulement la loi de programmation de la recherche (LPR) en cours d’examen au Parlement repose sur un budget insincère, mais elle accélère la précarisation des jeunes chercheur·ses et aggrave les inégalités territoriales, au risque de créer des déserts scientifiques. Par cette pétition, nous appelons le Sénat et le Conseil constitutionnel à suspendre le processus législatif jusqu’à la production d’un nouveau texte répondant aux attentes de notre société.
Décès d’une étudiante à l’Université de Tours : les économies tuent
"Avec ce texte, nous rendons hommage à cette étudiante victime des dysfonctionnements de l’institution et nous apportons tout notre soutien à ses camarades qui ont tenté de les compenser. Parfois, les choix politiques et économiques des Universités peuvent aller jusqu’à tuer."
Fanny Gallot : pour une véritable politique d’égalité femmes-hommes !
"Qu'il s'agisse des BIATSS ou qu'il s'agisse des enseignant·es-chercheur·ses, le gros des précaires, en réalité, ce sont des femmes [...] Dans la mesure où la LPPR va aggraver la précarité [...] ça va avoir des conséquences désastreuses pour les femmes et pour l'égalité femmes-hommes."
L’université et la recherche publiques se défendent !
Récit, en images, de cette journée de mobilisation nationale contre la LPPR, pour le service public de l'enseignement supérieur et de la recherche !
Réveillons nos sénateur·trices !
Le 13 octobre, on va en manif et on contacte ses sénateur·trices !