Communiqué des Facs et Labos en Lutte du 6 novembre 2020. Contre la LPPR, contre la précarité, pour un service public d’enseignement et de recherche, ouvert, émancipateur, antisexiste et antiraciste, la lutte continue !
Bientôt, nous déconfinerons notre colère.
Bientôt, nous déconfinerons notre colère. C'est donc comme si la LPPR LPR était adoptée. Et quelle loi ! Aujourd'hui, nous sommes confiné·es. Nous pouvons écrire, signer, faire connaître les raisons de notre colère, dans le monde de l'université et de la recherche et au-delà. Demain, il nous faudra reprendre la lutte, avec une rage et une puissance renouvelées. Notre colère explosera.
Loi de programmation de la recherche : nuit noire sur le Sénat
Les rapports préparatoires à la LPR, tout comme le projet de loi, étaient terriblement menaçant pour l'Université et la recherche. Le texte de loi s'avère pire.
Pierre Ouzoulias : la LPPR ne correspond pas à notre idéal républicain !
Pierre Ouzoulias, sénateur des Hauts-de-Seine, revient sur le processus parlementaire d'examen de la LPPR et sur la nomination de Thierry Coulhon à la tête de l'Hcéres.
Suspendons la loi de programmation de la recherche : notre société exige beaucoup mieux !
Sans recherche, notre société n’a pas d’avenir. Non seulement la loi de programmation de la recherche (LPR) en cours d’examen au Parlement repose sur un budget insincère, mais elle accélère la précarisation des jeunes chercheur·ses et aggrave les inégalités territoriales, au risque de créer des déserts scientifiques. Par cette pétition, nous appelons le Sénat et le Conseil constitutionnel à suspendre le processus législatif jusqu’à la production d’un nouveau texte répondant aux attentes de notre société.
Réveillons nos sénateur·trices !
Le 13 octobre, on va en manif et on contacte ses sénateur·trices !
[Sénat] Le groupe d’amitié France-Tunisie demande un moratoire
Le groupe d'amitié France-Tunisie du sénat a demandé le 7 mars 2019 un moratoire sur la hausse des frais d'inscription pour les étudiant·es étranger·es.
Communiqué de presse du groupe CRCÉ au sujet de la hausse des droits d’inscription pour les étudiant·es étranger·es
"Malgré les nombreuses oppositions de conseils d’administration des universités et de la communauté universitaire unanime, la ministre de l’enseignement supérieur réaffirme son intention d’appliquer sans tarder une réforme majeure conduite sans réelle concertation et dans la précipitation."