A partir de ses travaux de recherche au Royaume-Uni, la sociologue Annabelle Allouch montre combien la hausse des frais est une barrière pour les classes populaires et une contrainte forte qui pèse sur les choix de formation de tou·tes celles et ceux qui doivent s’endetter afin de financer leurs études.

Le 19 janvier dernier s’est tenu, au Sénat, un événement autour du plan « Bienvenue en France », sous le patronage et avec la participation de Pierre Ouzoulias. Cette réunion regroupait enseignant·es chercheurs·ses et étudiant·es, contre la hausse des frais d’inscription pour les étudiant·es étranger·es. Elle a été l’occasion de présenter des analyses critiques de la réforme, mais aussi des pistes pour structurer une action collective et massive contre cette mesure discriminatoire qui met en péril l’Université.

Ces analyses étant utiles pour nous tou·tes, nous les diffusons à nouveau ici.

L’enregistrement intégral des discussions, en trois parties, est également disponible sous forme de podcasts MixCloud.

Un commentaire sur « Annabelle Allouch présente les effets délétères de la hausse des frais universitaires au Royaume-Uni »

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