"Il nous semble indispensable de porter à la connaissance du public universitaire, et plus généralement du grand public, une manipulation de chiffres de la part du ministère, qui cherche ainsi à justifier l'augmentation drastique des frais d'inscription dans les universités françaises pour les étudiants non ressortissants de la communauté européenne."
Arrêtons l’arrêté ! La conférence de presse en intégralité
Nous saisissons la plus haute juridiction publique, le Conseil d'Etat, pour faire reconnaitre le caractère discriminatoire de cet arrêté et la remise en cause de l'égalité des usager·es d'un service public, entravant l'accès au droit à l'éducation pourtant garanti par la constitution à tous les niveaux et tous les âges. Pour défendre une université ouverte, arrêtons l'arrêté !
Officialisation de la hausse des frais : que retenir des décrets ?
Ce post analyse les textes officiels publiés le 19 avril 2019 officialisant la hausse des frais. pour les étranger·es. Qui paiera ? En combien de fois ? Qui pourra être exonéré ?
Arrêtons l’arrêté !
Contre l'avis de toute la communauté universitaire, mobilisée depuis 6 mois, le gouvernement passe en force et officialise la hausse des frais d'inscription pour les étudiant·es étranger·es en publiant l'arrêté du 19 avril 2019. Cette décision est injuste mais elle est aussi illégale. Nous la contestons, avec les syndicats d'étudiant·es et d'universitaires, avec les associations … Lire la suite de Arrêtons l’arrêté !
[Mediapart] Frédérique Vidal à Nancy, seule contre tous
"Frédérique Vidal était présente ce vendredi à Nancy pour l’inauguration des nouveaux locaux de l’Institut Jean Lamour, laboratoire d’excellence en science des matériaux. Le campus ARTEM, où se situe le nouveau bâtiment, a été la scène d’une mobilisation locale contre la hausse des frais d’inscription pour les étudiant·es étranger·es."
L’arrêté officialisant la hausse des frais d’inscription dévoilé
Le texte de l'arrêté officialisant la hausse des frais d'inscription est connu. On sait donc qui devra payer l'an prochain, et certain∙es étranger∙es déjà présent∙es en France depuis plusieurs années pourraient être concerné∙es.