"Qu'il s'agisse des BIATSS ou qu'il s'agisse des enseignant·es-chercheur·ses, le gros des précaires, en réalité, ce sont des femmes [...] Dans la mesure où la LPPR va aggraver la précarité [...] ça va avoir des conséquences désastreuses pour les femmes et pour l'égalité femmes-hommes."
